Le collectif #NousToutes et l’ensemble des associations féministes et organisations syndicales affiliés appellent tou·tes celles et ceux qui veulent en finir avec les violences sexistes et sexuelles à manifester le samedi 19 novembre 2022 à Paris et partout en France.
Le comité local d'Eure-et-Loir NousToutes28 se mobilise et organise plusieurs
événements toute la semaine jusqu’au 25 novembre, date de la journée mondiale de lutte contre les violences à l’égard des femmes.


Sympathisants et journalistes sont cordialement invités à ces rendez-vous.


Samedi 19 novembre 2022 à 14h
Place de la Mairie, Chartres :
Le collectif NousToutes 28 partira de la place de la Mairie et défilera dans le
centre-ville pour dénoncer les violences sexistes et sexuelles dont les femmes
sont victimes. L'année dernière, cet évènement national a rassemblé près de 80 000 personnes dans toute la France dont une centaine à Chartres. Cette année encore, il est nécessaire de porter l'urgence de protéger les victimes et garantir à chacun.e son droit de vivre à l'abri des violences.

Pour l'organisation de cette marche, deux ateliers de fabrication de pancartes sont proposés à la maison des syndicats de Chartres :
Mercredi 16 novembre 2022 à 18h
Samedi 19 novembre 2022 à 11h

Vendredi 25 novembre 2022 à 20h Cinéma Les Enfants du Paradis, Chartres
À la date de la journée mondiale de lutte contre les violences sexistes et sexuelles, le collectif organise une projection suivie d'un débat autour des " violences gynécologiques et obstétricales ".
Le documentaire "Tu enfanteras dans la douleur" de la réalisatrice Ovidie, dénonce les actes et comportements maltraitants que subissent les femmes durant leur grossesse et leur accouchement.


Résumé :
" En France comme dans le reste de l’Europe, de plus en plus de voix de femmes s’élèvent pour dénoncer des maltraitances gynécologiques subies durant leur grossesse et leur accouchement. Épisiotomie non-consentie, point du mari, expression abdominale, césarienne à vif, suture du périnée sans anesthésiant, infantilisation, remarques sexistes, chantage...
Longtemps tues, ces violences ont été portées au grand jour grâce aux réseaux sociaux et à une forte mobilisation de groupes de militantes. Au cœur de la pratique gynécologique et obstétricale, la notion fondamentale du consentement des femmes est ici questionnée."