(mise à jour du 11 novembre 2023)
Le collectif écologiste " Les soulèvements de la Terre " avait été dissous le 21 juin en conseil des ministres, le gouvernement dénonçant le « recours à la violence » des membres du groupe.
La plus haute juridiction administrative, le Conseil d'Etat, a estimé le 9 novembre 2023 que, si le collectif avait bien incité à des violences contre les biens, la mesure de dissolution n'était ni adaptée ni proportionnée. Elle en a profité pour préciser les critères justifiant la dissolution d'une association ou d'un groupement.